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Cerveau

Un article de Vev.

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Sommaire

sujet

Les processus d’apprentissage et de mémorisation dans le cerveau humain.

  • Le fonctionnement général du cerveau (les différentes zones, les neurones,

synapses,…).

  • Les différentes voies d’accès : visuelles, auditives,…
  • Les meilleurs moyens de transmettre les informations.
  • La psychologie liée à l’apprentissage.
  • Les voies de la recherche.

Bibliographie, webographie, rencontre de professionnels, étudiants, chercheurs,…

  • Quels est le processus suivi par une information, de sa réception à sa

mémorisation dans le cerveau ?

  • Quels sont les phénomènes physiques et chimiques qui y sont liés.

liens

poster synapse/neurone en 3d (structure ou fond)



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glossaire

  • Aire de Broca. Zone située dans le lobe frontal de l’hémisphère gauche, impliquée dans la production langagière.
  • Amygdale. Partie du cerveau impliquée dans les émotions et la mémoire. Chacun des deux hémisphères contient une amygdale (« en forme d’amande »), localisée dans les profondeurs du cerveau, près de la surface interne de chacun des lobes temporaux.
  • Apprentissage (Science de l’~). Terme tentant de désigner et de définir le type de recherche qui devient possible lorsque la neuroscience cognitive et les autres disciplines concernées rejoignent la recherche et la pratique dans le domaine de l’éducation.
  • Attention. Processus cognitif permettant de se concentrer délibérément sur une tâche en ignorant le reste. Les études par imagerie ont montré les réseaux distincts qui gèrent les diverses composantes de l’attention : maintenir l’acuité mentale, gérer l’information sensorielle et arbitrer entre plusieurs pensées ou plusieurs sentiments.
  • Axone. Long filament fibreux partant du corps cellulaire du neurone, et par lequel celui-ci transmet l’information aux cellules cibles.
  • Cervelet. Partie du cerveau située derrière et en dessous des hémisphères principaux, impliquée dans la régulation des mouvements.
  • Cognition. Ensemble des opérations mentales incluant tous les aspects de la perception, de la pensée, de l’apprentissage et de la mémoire.
  • Constructivisme. Théorie de l’apprentissage selon laquelle l’individu construit activement le sens à partir de ses expériences.
  • Cortex (cérébral). Couche supérieure des hémisphères cérébraux.
  • Dendrite. Ramification issue du corps d’un neurone, et qui reçoit l’information transmise par d’autres neurones.
  • Dopamine. Neurotransmetteur appartenant aux catécholamines, dont l’effet varie selon l’endroit où il agit. Chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson, ce sont les neurones produisant de la dopamine de la substantia nigra qui sont détruits. Il semble que la dopamine régule les réactions émotionnelles, soit impliquée dans la schizophrénie et soit affectée par la consommation de cocaïne.
  • Esprit. Rôle et fonction du cerveau, comprenant l’intellect et la conscience.
  • Glande pinéale. Organe endocrinien du cerveau. Chez certains animaux, elle semble avoir un rôle d’horloge biologique et être influencée par la lumière.
  • Gliales (cellules). Cellules spécialisées qui alimentent et entretiennent les neurones.
  • Hippocampe. Élément important du système limbique, impliqué dans l’apprentissage, la mémoire et les émotions.
  • Hypothalamus. Structure cérébrale complexe, composée de nombreux centres aux fonctions variées, dont la régulation de l’activité des organes internes, le suivi des informations transmises par le système nerveux autonome, et le contrôle de la glande pituitaire.
  • Inhibition. En parlant des neurones, message synaptique qui empêche l’activation de la cellule cible.
  • IRMf. Imagerie par résonance magnétique fonctionnelle. Utilisation d’un scanner IRM pour observer indirectement l’activité neurale grâce à des variations dans la chimie du sang (telle que celle du taux d’oxygène) et pour étudier des augmentations de l’activité dans les zones du cerveau associées à diverses formes de stimuli et de tâches mentales.
  • Lobe. Terme désignant des zones du cerveau différenciées par leurs fonctions (lobe occipital, temporal, pariétal et frontal).
  • Mémoire. La mémoire de travail et la mémoire à court terme désignent les structures et les processus utilisés pour stocker momentanément l’information et la manipuler. La mémoire à long terme conserve les souvenirs et leur signification. Un souvenir à court terme peut être intégré dans la mémoire à long terme grâce à la répétition et à l’association significative.
  • Messagers secondaires. Substances récemment identifiées, qui déclenchent la communication entre différentes parties d’un neurone. Ils jouent probablement un rôle dans la fabrication et la libération des neurotransmetteurs, dans les mouvements intracellulaires, dans le métabolisme glucidique, voire dans les processus de croissance et de développement. Leurs effets directs sur le matériel génétique des cellules entraînent peut-être des modifications comportementales durables, et pourraient concerner la mémoire.
  • Métabolisme. Somme de toutes les modifications physiques et chimiques qui se produisent dans un organisme, et de toutes les transformations énergétiques qui se produisent dans des cellules vivantes. Myéline. Substance graisseuse compacte qui entoure et isole les axones de certains neurones.
  • Neurogénèse. Naissance dans le cerveau de cellules nouvelles, parmi lesquelles des neurones.
  • Neurone. Cellule nerveuse spécialisée dans l’intégration et la transmission de l’information. Un neurone comporte de longs filaments fibreux, les axones, et de plus petites excroissances, les dendrites. Le neurone est l’élément constitutif fondamental du système nerveux.
  • Neurotransmetteur. Substance chimique libérée par les neurones au niveau des synapses, et qui transmet l’information jusqu’aux récepteurs. *
  • Phonèmes. Unités fondamentales du discours oral, qui constituent les mots. Plasticité ou plasticité cérébrale. Phénomène par lequel le cerveau est capable de changer et d’apprendre. Voire aussi Apprentissage dépendant de l’expérience et Apprentissage attendant de recevoir de l’expérience.
  • Réseaux cognitifs. Réseaux cérébraux impliqués dans des processus comme la mémoire, l’attention, la perception, l’action, la résolution de problème et la visualisation d’images mentales. Ce terme est également utilisé pour les réseaux artificiels (exemple : l’intelligence artificielle).
  • Sérotonine. Neurotransmetteur monoamine contribuant entre autres à la régulation thermique, à la perception sensorielle et à l’endormissement. Les neurones utilisant la sérotonine comme transmetteur se trouvent dans le cerveau et dans les intestins. Un certain nombre d’antidépresseurs agissent sur la sérotonine cérébrale. Synapse. Espace séparant deux neurones, par lequel un neurone transmet de l’information à un autre neurone (alors appelé « cellule cible » ou « neurone postsynaptique »).
  • Thalamus. Structure constituée de deux masses ovoïdes de tissu nerveux (chacune de la taille d’une noix), située au centre du cerveau. C’est par là que passent toutes les informations sensorielles qui parviennent au cerveau. Le thalamus ne relaie que les informations utiles, et ignore la masse de celles qui ne servent à rien.

partie 3 - processus d’apprentissage et de mémorisation

(transition de la partie de guillaume) Ces neurones sont formes des réseaux. Tout au long de la vie de l'homme, des connexions sont créées, renforcées ou non, ou encore disparaissent.

Préambule

Nous partageons avec d'autres espèces des systèmes spécialisés pour le traitement:

  • des formes
  • des quantités
  • de l'espace
  • des visages


Qu’est-ce que l’apprentissage?

Une définition du terme « apprentissage » pourrait être une amélioration de l’efficacité ou de l’utilisation d’un processus cognitif élémentaire (conscient ou inconscient) qui permet de mieux résoudre les problèmes rencontrés et de mieux réaliser les tâches de la vie quotidienne.


Le cerveau apprend tout au long de la vie : Le concept de plasticité

Les neuroscientifiques ont montré que le cerveau dispose d’une grande capacité d’adaptation aux demandes de son environnement : la plasticité. C'est une caractéristique fondamentale du cerveau tout au long de sa vie. Elle se matérialise par les connexions neuronales qui sont créées ou renforcées ou non, ou encore disparaissent selon les besoins.

Malgré cette plasticité permanente, il existe des périodes idéales, en quelque sorte des fenêtres de tirs durant lesquelles un apprentissage donné présentera une efficacité maximale: Citons comme exemple les stimuli sensoriels (tels les sons du langage) et certaines expériences émotionnelles et cognitives(telle l’exposition à une langue). Ces périodes sont assez brèves et se situent à un âge assez jeune.

A contrario, d’autres compétences (comme l’acquisition de vocabulaire) ne connaissent pas de période idéale nette et peuvent être apprises de façon optimale tout au long de la vie.

Chez les adultes, l’aisance ou l’expérience peut être considérée comme une preuve d’un traitement plus efficace. Des études ont montré qu’apprendre peut limiter le déclin cérébral et retarde l’apparition de maladies neurodégénératives. On peut ajouter que le cerveau décline quand on l’utilise moins ainsi qu'en vieillissant.

L’importance de l’environnement

La neuroscience montre que la façon dont on nourrit et traite le cerveau joue un rôle crucial dans les processus d’apprentissage, et commence à déterminer quels sont les environnements les plus favorables à l’apprentissage.

La plupart des façons d’améliorer le fonctionnement cérébral dépendent de facteurs simples et quotidiens(qualité de l’environnement social et des rapports humains, alimentation, exercice physique et sommeil) qui semblent tellement évidents qu’on a tendance à négliger leur importance.

Le facteur émotion

Au centre du cerveau humain se trouve un ensemble de structures parfois appelé « cerveau émotionnel » : le système limbique. On sait aujourd’hui que nos émotions influent sur le réseau neuronal.

Le stress rend performant et améliore la cognition et l’apprentissage, mais au-delà d’un certain niveau, on obtient l’effet inverse. Quant aux émotions positives, il est clair que l’un des plus grands facteurs de motivation est ce sentiment d’illumination qui se produit lorsqu’on comprend un nouveau concept; le cerveau réagit très bien à cette sensation.

Toutefois, en cas de stress excessif ou de peur intense, les processus de régulation émotionnelle sont perturbés, ce qui diminue les capacités de jugement social et les performances cognitives.

Pour apprendre efficacement, il est très important de savoir gérer ses émotions. La neuroscience commence à identifier d’importantes régions cérébrales dont l’activité et le développement sont en relation avec le contrôle des émotions.

Langage et quantification

Le cerveau est biologiquement préparé a acquérir le langage dès le début de la vie. Ces structures génétiquement prévues peuvent être comparées à un schéma précablé. De manière général, plus jeune est l’apprenant, plus efficace est l’apprentissage.

De même, la perception quantitative a des structures génétiquement prévues mais qui ne suffisent pas à gérer les mathématiques; elles travaillent en coordination avec d’autres circuits neuronaux, non prévus pour cette tâche mais adaptés au traitement de celle-ci par l’expérience. On sait aujourd’hui qu’effectuer des opérations simples nécessite la collaboration de nombreuses structures situées dans différentes régions du cerveau:

  • La simple représentation d’un nombre implique un circuit complexe qui fait appel à la représentation de magnitude, à la représentation visuelle et à la représentation verbale.
  • Le calcul nécessite lui aussi un réseau complexe, qui varie selon l’opération effectuée : la soustraction dépend du circuit pariétal inférieur, alors que l’addition et la multiplication activent d’autres réseaux neuronaux.

Synthèse sur l'apprentissage

Pour faciliter l’apprentissage, il faut adopter une approche globale qui tienne compte des liens étroits entre bien-être physique et intellectuel et ne néglige pas l’interaction entre aspects émotionnels et cognitifs.


  • l'attention
  • motivation et performance
  • stress



transmettre l'information

  • répéter encore et encore(consolidation)
  • permanente (ligne au sol, cravate,...)

théorie

Les traces de l'apprentissage
La potentialisation à long terme
La plasticité des réseaux de neurones
Mémoire à court terme
Mémoire à long terme
Mémoire et apprentissage
Mémoire sensorielle, à court et long terme
Différents types de mémoire à long terme
La mémoire collective
Oubli et amnésie
La dépression à long terme
Quand les circuits de l'hippocampe sont perturbés
Les lésions qui rendent amnésiques
Exercer sa mémoire contre l'oubli
Types d'amnésies
Amnésie antérograde et rétrograde
L'oubli historique


notes


conduction de type électrochimique: Le potentiel de repos du neurone est d'environ - 70 millivolts. Lors de l'état au repos du neurone, la membrane plasma est plus perméable au potassium K+ qu'aux autres comme le sodium Na+ et chlore Cl- la dépolarisation: La stimulation provoque l’ouverture des canaux à sodium.Les ions Na+ traversent de façon passive ces canaux, et pénètrent dans la cellule.

la repolarisation: Les canaux à sodium se ferment, donc le sodium ne rentre plus. Les canaux à potassium s'ouvrent : les ions K+ sortent pour compenser l'entrée de Na+.

l'hyperpolarisation: Les canaux à potassium restent ouverts. Les ions K+ continuent à sortir de la cellule.


enfin le retour au potentiel de repos: Le rétablissement de l’état initial est actif : la pompe Na+/K+ ATP dépendante expulse les ions Na+ et fait rentrer K+.


Nous partageons avec d'autres espèces des systèmes spécialisés pour le traitement:

  • de la forme
  • des quantités
  • de l'espace
  • des visages
  • du langage
  • ...

Mais l'homme possède la faculté d'interconnecter ces différents systèmes à sa guise car son schéma de connectivité est très diffus contrairement aux autres espèces.

exemple: il peut associer le chiffre 7 à une quantité ou bien


A tout âge on peut apprendre mais en vieillissant on a ........

exemple: Un bébé apprendra une langue parfaitement alors qu'un jeune après 18 ans n'arrivera jamais à avoir la prononciation exacte et aura alors un accent.


L'homme possède dans son cerveau des modules précablés (Noam Chomsky) tel que le langage que l'on retrouve au sein de beaucoup d'espèces .


Calcul:

primates, mammifères, corvidés et certains poissons ...........

ex: bébé fait le distingo entre une quantité de 4 et de 12

Système n'est pas identique pour tous il montre un réel besoin d'apprentissage:

ex: En Amazonie, le Mundrucus ne comptent que jusqu'à 5 et ne savent pas faire de calcul exact

ex2: En Australie, les arborigènes ont des capacités spatiales plus développées que la moyenne.

Conclusion


Une éducation précoce est vraiment à encourager. Des réseaux cérébraux plus flexibles permettent de repousser l'apparition de certaines pathologie.

De plus, certaines disciplines telles que la musique sont à privilégier. Elles apprennent l'attention; qualité indispensable pour acquérir toutes les autres compétences.


poster

forme

  • cerveau
  • BD
  • femme


cadres

liens


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  • Le poster DOIT être LINÉAIRE, STRUCTURÉ et SIMPLE.
  • Faire une phrase de 25 mots définissant le comment, le pourquoi, et le message principal du poster. Ce sera le FIL CONDUCTEUR qu'il faudra garder à l'esprit tout au long de la préparation. Chaque partie du poster doit se rattacher au fil conducteur.


La structure doit être en colonnes : lorsque plusieurs personnes se trouvent en même temps devant le poster, cela permet un mouvement général par translation de la gauche vers la droite sans gêne, sans zigzags et sans croisements.

La structure générale du poster doit suivre l'architecture suivante:

    TITRE
    Toute la zone supérieure : Titre du poster, Auteurs (avec prénoms en entier si possible), Laboratoire, Ville, Pays, Email, Numéro du poster (amovible pour pouvoir réutiliser le poster)
    Le titre doit être accrocheur et évocateur. Il doit résumer l'objectif, les moyens et la conclusion.
    RESUME
    Parfois, les organisateurs demandent que le résumé soit intégré dans le poster. Un résumé plus complet peut également être distribué à part.
    INTRODUCTION
    En haut à gauche: bien replacer l'étude dans le CONTEXTE et identifier clairement l'OBJECTIF en mettant un titre "OBJECTIF".
    METHODES ET RESULTATS
    Les METHODES doivent être abrégées au maximum sauf si l'objectif est d'améliorer une technique. Les RESULTATS doivent suivrent la présentation de la méthode correspondante.
    Cette partie "Méthodes et Résultats" doit représenter les 2/3 du poster.
    La seule lecture des titres doit permettre de comprendre les résultats.
    Numéroter les figures pour donner l'ordre de lecture, inutile d'indiquer "Figure" ou "Fig.", cela surcharge le poster.
    Il est possible d'ajouter quelques références bibliographiques des auteurs pour renforcer le bon positionnement scientifique du projet.
    CONCLUSION
    En bas à droite: identifier clairement la CONCLUSION avec un titre "CONCLUSION" puis éventuellement les PERSPECTIVES ET/OU APPLICATIONS
    REMERCIEMENTS
    Techniciens, financements




Le poster doit être simple et contenir un minimum d'éléments inutiles. Le but d'un support visuel est d'être utile et non artistique, car le lecteur doit retenir le contenu et non le contenant.
Les informations peu importantes doivent être éliminées de la diapo.
Il ne faut pas essayer de transmettre trop d'informations en même temps. Il vaut mieux faire passer quelques informations bien expliquées que des dizaines d'informations qui ne seront pas retenues. La quantité n'impressionnera pas l'auditoire.

En résumé, n'ayez pas pour attitude:
"Regardez comme j'ai beaucoup travaillé ..., et tant pis si vous ne comprenez pas tout !"
Que faire avec les figures et les icônes ?
Chaque figure doit avoir un objectif clairement identifié et ne pas être une simple collection de données. Le message principal de chaque figure doit attirer immédiatement l'attention. Il est préférable que chaque figure contienne un message unique, toutes les données étant organisées autour du thème central unique.
Le message de chaque figure doit être contenu dans le titre, écrit en gros caractères.
Si possible, les données les plus importantes doivent être à la hauteur des yeux sous le titre, les données moins importantes seront en dessous.
Les images qui retiennent le plus l'attention du lecteur sont, dans l'ordre décroissant :
photo > dessin > schéma > tableau > mots

sources

  • la wikipédia française et anglaise
  • lecerveau.mcgill.ca
  • "Comprendre le cerveau : naissance d’une science de l’apprentissage" éditions OCDE ocde.org/editions
  • "Éduquer et former" éditions sciences humaines
  • dossier "Comment le cerveau apprend" La Recherche N°449 Février 2011
  • dossier "Le développement de l'intelligence" La Recherche N°457 Novembre 2011

images

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