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Empire byzantin

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Modèle:Projet:Traduction/Empire byzantin

Modèle:Empire byzantin En 395, à la mort de Théodose Ier, l'Empire romain est partagé en deux parties : l'Empire romain d'Occident qui disparaît en 476, et l'Empire romain d'Orient ou Empire byzantin (en grec Modèle:Grec ancien / Basileía Rômaíôn) qui durera jusqu'en 1453.

Majoritairement hellénophones, les habitants de ce pays, que nous appelons: les Byzantins, se considéraient comme héritiers des Romains (en grec Rhomaioi ), et ils appelaient leur état « Empire romain »<ref name=univ>Encyclopaedia Universalis - "Empire byzantin"</ref>. Leur religion, leur langue de communication, et leur culture étaient essentiellement grecques plutôt que romaines<ref name=univ/>. Les Perses et les Arabes appelèrent les Byzantins « Rum », mais les Européens les appelèrent toujours « Grecs », et leur Empire « Imperium Graecorum », « Græcia », ou aussi « Terra Græcorum »<ref name=univ/>. Le mot byzantin vient de Byzance, l'ancien nom de la capitale byzantine, Constantinople. Ce terme byzantin n'est utilisé que depuis le Modèle:XVIIe siècle, créé par Hieronymus Wolf pour faire une distinction entre l'histoire grecque du Moyen Âge et celle de Rome de l'Antiquité<ref name=Ostrogorsky>G. Ostrogorsky - "Histoire de l’État byzantin"</ref>.

Au cours de ces mille ans, un certain nombre de lois et coutumes fut conservé des Romains, ainsi que certains aspects culturels ou techniques comme l'architecture. La disparition de la partie occidentale de l'Empire romain et celle des légions romaines, les menaces permanentes sur leurs frontières amenèrent les Byzantins à se doter d'une armée puissante, dont la tactique a évolué et commencé à s'élaborer de manière autonome dès le Modèle:VIe siècle.

L'Empire byzantin fut aussi un empire chrétien qui, entre autres, aura défini certains dogmes du christianisme. L'Église officielle fut l'Église chrétienne universelle jusqu'au Grand Schisme d'Orient de 1054, ensuite cette partie de l'Église prit le nom d'Église orthodoxe.

Sommaire

Histoire

Empire byzantin : héritier de l'Empire romain

En 293, l'empereur Dioclétien instaura, avec la tétrarchie, une division administrative de l'Empire romain. Cette division prit une dimension nouvelle avec Constantin Ier. En dotant l'empire d'une deuxième capitale en Orient à partir de 330, Constantin posait les bases qui allaient permettre à l'Empire romain de survivre aux invasions barbares. Ainsi, à la fin de l'Empire romain d'occident en 476, Constantinople, qui héritait de toute la moitié orientale de l'empire, devint le dernier centre politique et culturel où se perpétuaient les traditions romaines. L’Empire byzantin n'est en fait que la moitié orientale de l'Empire romain, qui poursuit son histoire. Il serait plus approprié d'utiliser l'expression Empire romain d'Orient pour le désigner: les empereurs se considéraient en effet toujours comme empereurs romains, et les chefs barbares qui devinrent maîtres des contrées occidentales recherchèrent et obtinrent souvent une investiture formelle de cet empereur pour asseoir leur autorité et leur prestige personnels.

Sous le règne de Justinien Ier l'armée commandée par le général Bélisaire rétablit partiellement l'empire dans ses frontières occidentales, notamment en Italie en 536, ainsi que sur le pourtour méditerranéen. Mais cette restauration fut éphémère, et surtout ruineuse. À la fin du règne de Justinien, l'empire fut harcelé sur toutes ses frontières. Seul l'esprit militaire de Maurice permit de sauver ce qui pu l'être des conquêtes de Justinien. Il constitua pour cela les exarchats de Carthage en Afrique du Nord et de Ravenne en Italie.

C'est aussi au milieu du Modèle:Ve siècle siècle que la chrétienté se divisa entre les partisans du monophysisme (Arméniens, Syriens, Palestiniens, Egyptiens et Ethiopiens) et ceux du Nicée II qui continuaient à croire que le Christ fut à la fois Dieu et Homme. il y eut à l'époque beaucoup d'autres controverses, car l'église n'était pas monolithique et les traditions de pluralisme religieux de l'Antiquité n'avaient pas disparu dans l'Empire.

A partir de 603, les Perses lancèrent une grande offensive en Orient. Ils s'emparèrent de l'Égypte, de la Palestine et de la Syrie. Pendant ce temps, les Slaves s'installaient dans les Balkans, et une nouvelle controverse, le monothélisme, était professée à Constantinople. Mais ce nouveau débat n'allait pas séparer l'Orient et l'Occident : un pape de Rome, Honorius Ier l'adopta, un autre Martin Ier la combattit, et tous deux restent vénérés comme saints en Orient comme en Occident.

Période médiévale

Le règne d'Héraclius est celui de la transition. Jusqu'à présent l'empire byzantin était une continuation de l'Empire romain. Avec Héraclius, l'État byzantin entre dans l'ère médiévale. Le latin, qui était encore la langue officielle, bien que parlée uniquement par l'élite (latin savant) et les Valaques (latin populaire), est définitivement abandonné au profit du grec. Les titres romains : imperator, césar, auguste, qui étaient les attributs de l'empereur byzantin sont également abandonnés. Dorénavant, les empereurs se font appeler par l'ancien titre royal hellénistique : basileus.

Les Perses sont à peine vaincus que l'Empire doit faire face à de nouveaux ennemis, plus déterminés encore. Du vivant même d'Héraclius, les Arabes ou "Sarrasins" conquièrent toutes les provinces orientales qui avaient été reprises aux Perses.

La crise la plus importante au Modèle:VIIIe siècle fut la controverse des iconoclastes, quand les icônes furent interdites par Léon III. Cette crise fut temporairement résolue par l'impératrice Irène en 787 et définitivement par l'impératrice Théodora en 843. Cette controverse marqua le début de la détérioration des relations entre les papes et Byzance : les papes, en effet, ont toujours pris le parti des défenseurs des images. Toutefois la véritable cause du schisme de Rome est politique : elle commence avec le règne de Charlemagne. C'est Charlemagne qui prit des libertés avec la doctrine chrétienne orthodoxe jusqu'alors professée dans son empire et à Rome comme partout ailleurs : en échange de sa protection contre les Lombards, il contraignit le pape à rejeter le concile œcuménique de Nicée II et à ajouter filioque au credo. L'Empereur des Francs put dès lors massacrer en toute légitimité Saxons païens et sarrazins infidèles, mais le schisme entre Occident et Orient était en germe. Mais en 1054, lorsque le pape et le patriarche de Constantinople s'excommunièrent mutuellement, l'événement n'apparut aux contemporains que comme une péripétie : personne n'imagina un schisme définitif entre ce qui fut appelé plus tard le catholicisme et l'orthodoxie.

Le Saint Empire romain germanique en Occident eut pourtant une impératrice grecque, Théophano qui fit rayonner les arts de Byzance en Occident : la séparation des deux Églises ne semblait pas encore inéluctable.

L'Empire atteignit son apogée sous les empereurs macédoniens aux Modèle:IXe s, Modèle:Xe s et XIe siècles. Pendant ces années, l'empereur Basile II le Bulgaroctone (le tueur de Bulgares) vainquit les Bulgares en 1014, et s'allia avec l'État kiévien, nouvelle puissance russe et orthodoxe du nord.

Au XIe siècle, l'Empire fut pris en tenaille entre deux mondes hostiles, l'un catholique, à l'ouest, incarné par les Normands qui conquirent la Sicile et l'Italie du Sud, l'autre musulman, à l'est, incarné par les Turcs Selçuks ou Seldjoukides qui conquirent l'Asie Mineure, suite à la bataille de Manzikert.

L’Empire face aux menaces

En 1081, Alexis Ier usurpa le trône. Pendant son règne, les croisades commencèrent, prétendant aider l'Empire contre les Seldjoukides, mais en fait, vivant sur le pays. L'opposition entre les croisés et les Byzantins s'accentua tout le Modèle:XIIe siècle et culmina avec la prise de Constantinople par les croisés et les Vénitiens en 1204 qui marqua une rupture douloureuse entre l'Église d'Orient et l'Église d'Occident, et inaugura en Occident neuf siècles de dénigrement ou d'occultation de la civilisation byzantine (non seulement dans les cercles catholiques pour lesquels les Grecs sont des « schismatiques », mais aussi chez Hieronymus Wolf, Voltaire, Thouvenel et beaucoup d'autres).

Image:ByzantineEmpire1265.svg
L’empire byzantin en 1265

Plusieurs hiérarques byzantins se constituèrent des états indépendants sur les territoires qui avaient échappé aux occidentaux : Despotat d'Épire, Empire de Trébizonde, Empire de Nicée cependant que les croisés établirent l'Empire latin de Constantinople qui dura jusqu'à la reconquête de la ville en 1261 par Michel VIII Paléologue parti de Nicée.

Au cours des deux siècles suivants, l'Empire, difficilement rétabli après avoir été systématiquement pillé par les Vénitiens et les Croisés, fut attaqué constamment par l'Empire ottoman. L'Europe catholique n'était pas disposée à aider les Byzantins, bien au contraire les Génois et les Vénitiens n'ont eu de cesse de profiter des difficultés de cet empire. Les Ottomans conquirent l'empire morceau par morceau jusqu'à s'emparer finalement de Constantinople en 1453. Trébizonde et Mistra tombent en 1461.

Avec la chute de Constantinople, l'Empire romain disparut définitivement, mais il eut de nombreux héritiers (voir plus bas "L'héritage de Byzance").

Le commerce

Image:Byzantine commercial measures.jpg
Mesures commerciales byzantines Musée archéologique de Varna

Constantinople, porte de l'Orient, fut longtemps la ville la plus peuplée d'Europe, dépassant un million d'habitants quand Rome, Paris et Londres n'en groupaient pas même 100 000 à elles trois. C'était le carrefour commercial où passaient tous les produits d'autres pays, et était donc une ville très convoitée. Son luxe et sa propreté éblouissaient les Vikings (qui n'ont pu y entrer que comme mercenaires) et les occidentaux. Flotte et armée en imposaient à tous les chefs étrangers en visite. La ville n'avait jamais été prise avant 1204 (et même là, c'est par traîtrise que les Croisés y entrèrent). C'est par la capitale de l'empire byzantin que passait la mythique route de la soie. Et bien avant sa découverte en occident, le commerce de la soie et des pourpres faisait de Constantinople une des trois villes les plus importantes d'Orient avec Bagdad et Alexandrie. Avant 603, l'Empire avait même un comptoir dans l'océan Indien: c'était l'île de Dioscoride (aujourd'hui Socotra), et ses dromons (vaisseaux long-courriers) abordaient couramment les côtes occidentales de l'Inde et les côtes orientales de l'Afrique, ramenant or, pierres précieuses, ivoire et épices (mais pas esclaves, comme on l'a faussement affirmé : la traite orientale ne débute qu'au IXe siècle, bien après).

Plus encore que le commerce de la soie, c'est celui des épices qui vaut à Constantinople de devenir le centre de gravité économique du bassin méditerranéen. Les visiteurs y découvraient des fruits inconnus tels les abricots, les pêches ou les oranges, et des oiseaux exotiques tels les paons ou les pintades (et non les dindes comme on le dit souvent par erreur : le dindon est américain, de même que le maïs et la tomate). Mais cette prospérité excite les convoitises, et en 1204 les Vénitiens détournent la quatrième croisade sur Constantinople. À la fin de l'occupation occidentale en 1261, l'empire byzantin qui n'a pas pu reconstituer sa grande flotte de jadis, est endetté auprès des républiques maritimes italiennes, et les concessions commerciales accordées aux Génois, aux Vénitiens et aux Pisans finissent par appauvrir la ville qui ne profite plus du commerce avec l'Asie.

Culture byzantine

Image:EgliseOrthodoxeMeteores.jpg
église orthodoxe du monastère des Météores, Grèce

Théologie

Les Byzantins ont hérité des Grecs de l'Antiquité un goût prononcé pour les questions idéologiques. Leur sens du paradoxe comme seule réalité pouvant rendre compte de l'infinie complexité du monde et de l'infini mystère de Dieu, leur permettait de réfléchir sur "l'économie de la Trinité". Les controverses religieuses traverseront l'histoire et la société byzantines et elles passionneront également les foules. L'iconoclasme ou le monothélisme ont beaucoup agité les esprits et ont eu un impact non négligeable dans la politique intérieure byzantine. Ces controverses auraient pu contribuer à resserrer les relations entre l'Orient et l'Occident dans la mesure où la papauté est restée longtemps fidèle à l'orthodoxie. Théodore Stoudite fait appel à l'aide du pape lors du second iconoclasme. On peut dire qu'historiquement, les Occidentaux ont été Orthodoxes avant de devenir Catholiques. Mais lorsque la papauté a cessé d'être un lien doctrinal et culturel entre l'Orient et l'Occident, lorsque les papes furent recrutés dans un Saint Empire Germanique coupé de Byzance, l'Europe s'est acheminée progressivement vers la séparation définitive des deux Églises en 1054.

Après le Schisme de Rome de 1054, l'Empire byzantin resta fidèle (orthodoxe) aux dogmes du christianisme du Premier millénaire (voir plus bas "Théologie"). Après le Schisme, la partie occidentale de l'Église, sous l'obédience de Rome, changea certains dogmes et le droit canon : le pape, refusant le concile œcuménique de Nicée II, se proclama chef unique de l'église universelle (catholique), imposa le célibat des prêtres, promulgua l'existence d'un Purgatoire et ajouta le filioque au credo. Cet ajout aura des conséquences historiques énormes : il impliquait que le Saint-Esprit découlant aussi du Christ, et pas seulement du Père, seules les âmes catholiques pouvaient être sauvées. Cela légitimera la mise en place de l'Inquisition et une politique expansionniste de conversions forcées ou de massacres de mécréants, d’hérétiques ou de schismatiques. Cette politique débuta par la IVe croisade qui s'en prit non aux infidèles, mais à Constantinople, et culminera avec la colonisation de l'Amérique du Sud. Côté catholique, on se considère (en dépit de ces changements doctrinaux) comme les uniques héritiers de l'église primitive, et ce sont les Orthodoxes qui sont considérés comme schismatiques; le Schisme de Rome est d'ailleurs appelé Grand Schisme d'Orient.

L'Église byzantine connut une autre controverse d'importance en 1338-1351. Un moine grec calabrais, Barlaam, reproche aux hésychastes du Mont Athos de prétendre voir et sentir Dieu dans leur chair. Grégoire Palamas défend les hésychastes en se référant à la Transfiguration du Christ et sa doctrine est reconnue comme celle qui est anciennement confessée par l'Église. Par cette dernière victoire doctrinale, Byzance déclinante a essaimé dans toute l'Europe orientale un grand dynamisme monastique et des écoles hymnographiques et iconographiques de grande qualité. (Voir concile, orthodoxe).

Langues de Byzance

La littérature byzantine

Les Byzantins se sont également fortement appuyés sur la littérature grecque dans leurs œuvres, rédigées pour la plupart dans la koinè, langue grecque commune de l'époque hellénistique, devenue depuis langue littéraire. Les genres littéraires les plus prisés sont l'histoire, la rhétorique ou encore les récits d'imagination. À cela il faut ajouter leur cartographie étonnamment précise pour l'époque, comme le montre le Grand Atlas découvert à Istanbul en 1924 et exposé au musée Topkapi.

Les courses de chars

Sans doute plus encore qu'à Rome, les jeux, en particulier les courses de chars, passionnent les constantinopolitains. Au point que la rivalité entre les principales écuries, les Bleus et les Verts, prend une dimension politique, comme en témoigne l'exemple de la Sédition Nika, qui a embrasé la ville de Constantinople pendant six jours en 532, et dans le déclanchement de laquelle les courses de chars jouèrent un rôle.

Arts

Image:Searchtool.svg Article détaillé : Art byzantin.

L’héritage de Byzance

L'Empire romain d'Orient nous a transmis, en lui faisant traverser les âges obscurs qui ont suivi la chute de l'empire d'occident, l'héritage le plus universel de l'Empire romain, à savoir la codification du droit, grâce au corpus juris civilis ou code de Justinien.

Ce sont également les Byzantins qui ont perpétué l'usage du grec et sauvegardé les anciennes bibliothèques grecques recélant les trésors que l'on sait.

Les Arabes et les Turcs ont été fortement influencés sur les plans technique, intellectuel, architectural, musical et culinaire. Les Egyptiens chrétiens (Coptes), les Éthiopiens, les Arméniens, bien que monophysites, se rattachent également à la tradition byzantine, de même que les Arabes orthodoxes de Syrie, du Liban et de Palestine.

En Italie les réfugiés byzantins tels Jean Bessarion ou Jean Lascaris facilitèrent la transmission du savoir et de la philosophie antiques, transmission qui suscita la Renaissance du Modèle:XVe siècle au Modèle:XVIIe siècle. Venise regorge de trésors pris à l'Empire et son architecture est d'inspiration byzantine.

L'Empire byzantin a contribué à sédentariser et à christianiser les peuples slaves venus de l'est de l'Europe. Byzance a ainsi eu, pour les actuels pays d'Europe de l’Est, autant d'influence que Rome sur ceux d'Europe occidentale. Les Byzantins ont en effet donné à ces peuples un alphabet cyrillique adapté à leurs langues, un modèle politique qui permettra à certains d'entre eux (Russie) de rivaliser avec Byzance elle-même, et une religion qui est encore la leur aujourd'hui.

Les Roumains, les Bulgares, les Serbes, les Ukrainiens, les Biélorusses, les Russes et les Géorgiens ont choisi la forme orthodoxe du christianisme, qui les rattache également à Byzance; d'ailleurs, à la chute de Constantinople, Moscou s'est proclamée la Troisième Rome. Les familles impériales byzantines (Cantacuzènes, Paléologues…) donnèrent des souverains aux Principautés roumaines de Moldavie et Valachie.

Les Grecs, naturellement, s'enorgueillissent d'avoir continué la civilisation byzantine même sous la férule Ottomane, et cela dans Constantinople même où une université grecque a fonctionné jusqu'en 1924, et ce n'est qu'en 1936 que la poste turque cessa définitivement d'acheminer les lettres portant la mention "Constantinople".

Aujourd'hui, le dernier héritier de l'Empire dans son ancienne capitale est le patriarche de Constantinople.

Notes

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Voir aussi

Articles connexes

Liens et documents externes

  • Jean-Michel Cantacuzène, Mille ans dans les Balkans Ed. Christian, Paris (1992) ISBN 2-86486-054-0.
  • Charles Diehl, Histoire de l'Empire byzantin (1919), Paris, Editions du Trident, 2007.
  • Alain Ducellier, Les Byzantins (1963), Paris, Le Seuil, collection « Points histoire ».
  • Alain Ducellier (dir.), Byzance et le monde orthodoxe, Paris, Armand Colin, "U", 2e édition, 1996.
  • Paul Lemerle [1902-1989], Histoire de Byzance, Paris, PUF, collection « Que sais-je ? », 1956.* Louis Bréhier, Vie et mort de Byzance [pdf] version numérisée de l'ouvrage paru dans la Collection l’Évolution de l’Humanité, Éd. Albin Michel, 1946 et 1969, Paris, 596 pages.
  • Cécile Morrisson (dir.), Laurent Albaret, Jean-Claude Cheynet, Constantin Zuckerman, Le Monde byzantin, tome 1: L’empire romain d’Orient (330-641), Coll. Nouvelle Clio, PUF, Paris, 2004
  • Jean-Claude Cheynet (dir), Laurent Albaret, Angeliki Laiou, Cécile Morrisson, Constantin Zuckerman, Le Monde byzantin, tome 2: Le Moyen Âge byzantin (641-1204), Coll. Nouvelle Clio, PUF, Paris, 2007
  • Angeliki Laiou (dir), Laurent Albaret, Jean-Claude Cheynet, Cécile Morrisson, Constantin Zuckerman, Le Monde byzantin, tome 3: Le déclin de l'Empire (1204-1453), Coll. Nouvelle Clio, PUF, Paris, attendu pour 2009


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