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Alsace

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Modèle:Infobox Région de France

L'Alsace (s'Elsass en alsacien , das Elsass en allemand) est une des 22 régions administratives de la France métropolitaine qui regroupe deux départements : le Bas-Rhin au nord et le Haut-Rhin au sud. Son chef-lieu est Strasbourg, qui est aussi sa plus grande ville, suivie par Mulhouse (sous-préfecture du Haut-Rhin), et Colmar, préfecture du Haut-Rhin.

C'est également une région historique qui comprend en outre l'actuel Territoire de Belfort. La province historique est subdivisée en Haute-Alsace et Basse-Alsace. Les traduction allemandes Oberelsass et Unterelsass sont toujours utilisés par les germanophones pour désigner respectivement les départements du Haut-Rhin et du Bas-Rhin.

Sommaire

Étymologie

La signification étymologique <ref>Kluge, Friedrich, Etymologisches Wörterbuch der deutschen Sprache, 2nd ed., Straßburg, Carl F. Trubner, 1883.</ref><ref>Holthauzen, Ferd., Etymologisches Wörterbuch der Englischen Sprache, Leipzig, Bernhard Tauchnitz, 1927.</ref><ref>Gordon, E.V., An Introduction to Old Norse, 2nd ed., rev., Oxford University Press, 1956.</ref> du mot Alsace provient du mot en vieux haut allemand  : Ali-sazzo (habitant de l'autre rive).

Littéralement : « celui qui est installé sur l'autre rive ». Ce fut probablement mentionné pour désigner les Alamans installés à l'ouest du Rhin.

Géographie

Climat

Le climat alsacien est « semi-continental d'abri ». Les vents d'ouest subissent un forçage sur le versant occidental des Vosges, frappé de pluies. L'air se retrouve donc déchargé d'humidité quand il a franchi la barrière vosgienne.

Conséquence : l'hiver y est froid, l'été chaud et il y a peu de précipitations. Colmar bénéficie d'un micro-climat ensoleillé et sec : c'est la deuxième ville la plus ensoleillée de France (après Perpignan) avec 550 mm de précipitations par an ce qui en fait un environnement idéal pour la culture de la vigne. Sa nappe phréatique importante lui évite toutefois les conséquences d'éventuelles sécheresse.

Topographie

Image:Alsace topo.png
Carte topographique de l'Alsace
Image:GBplaine.jpg
Les Vosges et la plaine d'Alsace

L'Alsace couvre une surface de 8 280 km² (190 km de long sur 50 km de large soit 1,5% de la superficie de la France), ce qui en fait la plus petite des régions administratives de France métropolitaine, la Corse ayant à peu près la même surface. Elle s'étend du sud au nord le long du Rhin qui la borde à l'est.

Elle est limitée au nord par la rivière Lauter, où commence le Palatinat allemand, et à l'est par le Rhin, à la droite duquel s'étend le Bade-Wurtemberg, au sud par la Suisse, au sud-ouest par la région Franche-Comté et à l'ouest par la région Lorraine.

Son espace est découpé en plusieurs ensembles de relief :

  • à l'est, la plaine d'Alsace<ref>forme le Fossé rhénan avec le pays de Bade allemand</ref> drainée par l'Ill et consacrée à la grande culture céréalière. La forêt y occupe encore des espaces importants : forêt de Haguenau au nord et celle de la Hardt au sud ;
  • entre le Rhin et l'Ill, le Ried<ref>de l'alémanique roseau</ref>. Cette zone marécageuse et humide conserve ses caractères naturels remarquables façonnés par le vieux fleuve autrefois sauvage (forêts rhénanes parcourues par les bras du Rhin, prairies inondables, sources phréatiques, rivières), où réserves naturelles et sites protégés émerveillent l'âme sensible.
  • à l'ouest dominent les Vosges ou le massif vosgien entaillé de larges vallées des affluents de l'Ill ; ici ce sont les pâturages d'altitude (Hautes Chaumes) qui alternent avec la forêt ; le Grand Ballon 1424 m (ex ballon de Guebwiller) est le point culminant d'Alsace, il est situé dans le Haut-Rhin ;
  • les collines sous-vosgiennes font le lien entre les deux ensembles. Ce piémont vosgien est occupé par le vignoble alsacien.
  • Le Sundgau, région de collines au sud de Mulhouse.
  • Le Jura alsacien à l'extrême-sud de la région.

Géologie

L'Alsace est la partie de la plaine du Rhin située à l'Ouest du Rhin, sur sa rive gauche. C'est un fossé d'effondrement, appelé aussi rift ou graben, d'âge oligocène, associé à ses épaulements latéraux : les Vosges et la Forêt Noire. Le massif du Jura, formé par glissement (induit par la surrection alpine) de la couverture mésozoïque sur les formations triasiques ("couches savon") recoupe la région de Belfort.

  • Le fossé rhénan s'est donc effondré durant le tertiaire , en conséquence la région a été plusieurs fois envahie par la mer, ce qui explique une sédimentation variée : marne, calcaire, sel gemme, marbre. De plus, au quaternaire, des dépôts éoliens de lœss ont lieu.
  • Le Sundgau qui était alors un vaste plateau calcaire a été recouverte par les mers secondaires, au commencement de l'ère tertiaire. Au début de l'oligocène, on assiste à un affaissement du fossé rhénan à l'origine de la pénétration marine. A la fin de l'oligocène, la mer se retire définitivement laissant des dépôts de sédiments très fins. A la fin du tertiaire et au début du quaternaire le surélèvement des Vosges et de la Forêt Noire entraîne la formation du Jura qui est le résultat de plusieurs phases de plissements, entrecoupées par des phases d'érosion. La nappe de cailloutis d'origine alpine que l'on trouve dans le Sundgau est due à l'érosion très intense du Jura par le Rhin qui, pris dans un couloir rejoignait alors l'actuelle vallée du Doubs. Ce n'est que l'affaissement du fossé rhénan qui a modifié le cours du Rhin et le régime hydrographique par les phénomènes de capture.
  • Les Vosges sont constitués au nord par du grès (plateau lorrain) et au sud par du granite ; les granites sont des structures hercyniennes exhumées lors des soulèvements latéraux conjoints à l'effondrement du rift.
  • Le Jura, soulevé plus tardivement (au Miocène) est constitué de calcaires et de marnes d'âge le plus souvent jurassique, donc beaucoup plus anciens que les formations de la plaine alluviale du Rhin.

La structure tectonique du sous-sol (fossé d'effondrement) explique une certaine activité sismique.

Des gisements de pétrole ont été exploités au nord (à Pechelbronn, près de Niederbronn, l'un des premiers gisements au monde à être exploité, en 1740), ainsi que des gisements de potasse datant de l'oligocène près de Mulhouse. Des mines d'argent ont également été exploitées jusqu'au début de XXe siècle près de Sainte-Marie-aux-Mines.

Enfin, le fort géotherme, conséquence de la remontée mantellique qui eut lieu à l'aplomb du rift, permet une exploitation géothermique expérimentale à Soultz-sous-Forêts.

Démographie

L'Alsace est une région recouverte en grande partie par les aires urbaines de Strasbourg et Mulhouse,dans une moindre mesure Colmar et influencée aussi par les grandes villes étrangères proches, comme Bâle (Suisse), Fribourg-en-Brisgau et Karlsruhe (Allemagne), ce qui fait d'elle une région à forte densité de population (excepté au nord-ouest du Bas-Rhin et sur les sommets vosgiens). La population s'élève à 1 794 000 habitants fin 2004. Elle s'élevait à 1 734 145 habitants en 1999. Terre d'humanisme, l'Alsace a facilité les rencontres de peuples. La population a régulièrement augmenté au cours du temps (sauf pendant les périodes de guerre) à la fois par excédent naturel et par excédent migratoire. Cette augmentation s'est même accélérée à la fin du XXe siècle. Avec une densité de 209 habitants par kilomètre carré, l'Alsace est la troisième région la plus densément peuplée de la France métropolitaine.

L'INSEE estime que la population alsacienne va augmenter de 12,9% à 19,5% de 1999 à 2030 et atteindre les 2 millions d'habitants.

Les bassins de population et d'activité (emplois, commerces, services, transports, études, divertissements etc.) sont concentrés autour des agglomérations de Strasbourg, de Mulhouse et de Colmar, qui étendent de plus en plus leurs zones d'influence respectives.

Histoire

Image:Ensemble Timbres Hindenburg surchargés par Elsass.JPG
Timbres à l'effigie de Hindenburg surchargée de la mention "Elsass"

À la différence de ses provinces et régions voisines, l'Alsace n'a jamais connu de période d'unité et d'autonomie politique combinées. Longtemps caractérisée par un morcellement politique important, la région fut principalement sous l'autorité plus ou moins théorique du Saint Empire romain germanique de 962, date de sa création, jusqu'en 1648, puis de la France, après son annexion progressive au Modèle:XVIIe siècle.

Quelques repères :

Économie

Avec près de 3% du PIB, l'Alsace se place au deuxième rang des régions françaises avec un PIB par habitant de plus de 20 750 d'euros.

L'Alsace est une région dont l'activité économique est variée : Vignoble d'Alsace, la culture du houblon et le brassage de la bière, l'exploitation forestière…

Dans le passé, la Région était spécialisée dans le textile. On extrayait du pétrole au nord et de la potasse au sud.

À l'international, 35% des entreprises ont une participation étrangère (notamment allemande, suisse, états-unienne, japonaise et scandinave). L'Allemagne a représenté près de 38,5% des importations alsaciennes en 2002.

Le taux de chômage relativement faible a augmenté en 2002-2003 à cause d'une industrie en crise. L'Alsace se reconvertit vers le tertiaire :

  • la recherche et les nouvelles technologies à travers le nouveau pôle : le pôle IMAGE (iconoval).
  • les biotechnologies à travers le pôle innovation thérapeutique pour Strasbourg
  • le pôle automobile du futur avec le constructeur PSA à Sausheim et Montbéliard
  • la plasturgie à travers cette nouvelle plate-forme technologique (PFT) : la PFT Extrusion à Saverne (http://www.poletechnologique-extrusion.fr)

Depuis le 10 juin 2007, le TGV Est Européen relie Paris à Strasbourg en 2h20.

Culture

Image:Dialectes Alsace.PNG
Répartition géographique des dialects parlés en Alsace avant la généralisation du français au XXe siècle.

Excepté dans quelques communes jouxtant le Territoire de Belfort et le pays welche, ainsi les vallées de la Weiss (Orbey) et de la Liepvrette (Sainte-Marie-aux-Mines) dans le massif des Vosges (traditionnellement de parlers "oil" lorrains), en Alsace Bossue ou autour de Wissembourg (où les pratiques respectives des francique rhénan et francique méridional sud-occidental quoique en déclin demeurent avérées), une partie de la population parle encore aujourd'hui couramment la langue locale, l'alsacien, dialecte alémanique. L'alsacien fait quelques emprunts lexicaux au français et a été longtemps la langue maternelle de la plupart des habitants. Le français est cependant l'unique langue officielle en vigueur. Le haut allemand (Hochdeutsch), utilisé comme langue écrite depuis le XVIe siècle, fut la seule langue officielle de 1871 à 1918 et de 1940 à 1944. Durant la période de 1871 à 1918, la langue française restait enseignée dans les enclaves romanes (situées au fond de quatre hautes vallées des Vosges et dans les villages francophones de l'actuel département de la Moselle).

Dans le but de préserver l'alsacien, il existe, depuis 1992, des sections bilingues paritaires en Alsace où l'enseignement est dispensé pour moitié en français et pour moitié en allemand Hochdeutsch (ayant l'avantage d'avoir une orthographe fixe et une forte présence dans les médias écrits ou audiovisuels). À l'heure actuelle, elles concernent environt 5% des élèves. Au lycée, les élèves peuvent passer l'abibac. L'alsacien peut y être parlé en maternelle et peut être enseigné ou parlé en primaire. Cependant l'écrit est en allemand, considérant que celui-ci est la version écrite commune de l'ensemble des dialectes alsaciens.

Des pièces de théâtre en alsacien sont encore représentées.

On pourra consulter également la liste établissant la correspondance des toponymies alsaciennes en français et en allemand.

L'Alsace possède une forte identité culturelle, à la fois française et germanique (elle a longtemps été l'objet de revendications territoriales de la part de l'Allemagne et de la France).

En fait, c'est ce que démontre le géographe Paul Vidal de la Blache dans la France de l'Est, l'adhésion de la population alsacienne à la France a été scellée sur une base plus politique que culturelle. Il y eut d'abord Louis XIV, avec sa justice royale qui prenait souvent parti pour les paysans dans leurs conflits avec les seigneurs ; mais c'est surtout le célèbre écriteau placé sur le pont du Rhin, à Strasbourg, le 14 juillet 1791, pour la fête de la Fédération, Ici commence le pays de la Liberté, qui symbolise l'adhésion de l'Alsace à la communauté nationale. Ce n'est pas un hasard si l'Alsace fournit beaucoup d'officiers à la France sous la Révolution (Kleber, Kellermann) ; il est notable que Frédéric Bartholdi, le créateur de la statue de la liberté, était alsacien de Colmar.

Cette particularité politique alsacienne a évidemment des corollaires culturels : l'Alsace fut un pays de commerçants, d'artisans, de bourgeois indépendants qui soutinrent la Révolution et les Républiques. Des villes comme Mulhouse et Belfort furent particulièrement marquées par ce trait. La résistance de Belfort, qui ne fut pas annexé par les Prussiens, n'est pas étrangère à cette considération.

De même, les structures agraires alsaciennes - du moins avant l'avènement de l'agriculture productiviste - avec des parcelles laniérées par de multiples héritages, ne dépassant souvent pas un hectare, reflétaient fortement l'attachement à la petite propriété individuelle. Le parcellaire foncier tranchait ainsi puissamment avec celui de la rive droite du Rhin, caractérisé par un openfield où la discipline collective perdura longtemps.

Gastronomie

Parmi les plats traditionnels d'Alsace, on ne peut oublier le baeckeoffe, la tarte flambée, la choucroute, le schiffala ou les fleischschnackas. Le territoire du Sundgau se caractérise par de délicieuses carpes frites. À noter, le foie gras d'oie qui est produit depuis le Modèle:XVIIe siècle.

Du côté des desserts traditionnels : kouglof, tarte au fromage blanc et grande variété de biscuits et petits gâteaux, appelé brédalas, ainsi que du pain d'épice. Le tout arrosé avec modération de vins, de bières locales et d'eaux minérales.

Enfin, les grands chefs cuisiniers Paul et Marc Haeberlin (père et fils) représentent l'élite de la gastronomie alsacienne et francaise à l'Auberge de l'Ill (auberge familiale depuis 1882) à 15 km au nord de Colmar. Trois étoiles au Guide Michelin depuis 1967.

Construction

Image:Maison Kammerzell.jpg
La Maison Kammerzell (Modèle:XVe siècle) qui se situe à Strasbourg est l’un des plus importants édifices à colombage de la ville.

L'habitat traditionnel de la plaine alsacienne est constitué de maisons construites avec des murs en colombage et torchis et des toitures en tuiles plates. Colombage et torchis se rencontrent, certes, dans d'autres maisons de France, mais leur abondance particulière en Alsace est due à plusieurs raisons :

1°) La proximité des Vosges rendait le bois bon marché et facile à trouver.
2°) Du fait du risque sismique le bois était plus adapté que la pierre car, plus souple, il résistait mieux.
3°) Dans les périodes de guerre et d'invasion les villages étaient souvent incendiés, ce qui entraînait l'effondrement des étages supérieurs. C'est pourquoi on avait pris l'habitude de bâtir en pierre les rez-de-chaussée sur lesquels on reconstruisait le haut en colombages une fois la tourmente passée. C'est ce qui explique que certaines communes se soient relevées si vite dès que la paix était revenue.

Cependant les colombages apparents aggravaient les risques d'incendie, c'est pourquoi, à partir du XIXe siècle on a commencé à les recouvrir de crépi. Ce n'est qu'à une époque récente qu'on a commencé à les dégager ; plus récemment encore les Beaux-Arts ont exigé, pour accorder une subvention, que le crépi restant ne fût pas peint en blanc, comme on s'était mis à le faire, mais dans des couleurs variées, afin de revenir à l'usage plus ancien. Les habitants ont suivi, plus pour des raisons financières que par conviction. En tout cas on est aujourd'hui frappé par la différence entre les villages alsaciens, maintenant badigeonnés, et les villages badois qui leur font face et où le blanc règne toujours en maître.

Patrimoine

Administration et organisation sociale

Le droit local

Dans certains domaines comme la chasse, les associations, les cultes religieux, la sécurité sociale, etc., le droit appliqué en Alsace, ainsi qu'en Moselle, est un mélange de droit national et de droit local.

Après la période 1870-1918 pendant laquelle l'Alsace était allemande certaines lois napoléoniennes ont été maintenues en vigueur et sont demeurées appliquées ; certaines lois françaises réalisées entre 1870 et 1918, au contraire, ne s'appliquent pas. Il ne s'agit donc pas, contrairement à l'idée reçue, du maintien de lois allemandes.

Pour plus de détails, voir l'article droit local en Alsace et en Moselle.

Symbole

La cigogne, oiseau auquel certaines légendes contées aux enfants attribuaient l'apport des bébés dans les familles. Quasiment disparue il y a une trentaine d'années (1970), elle a fait l'objet d'une stratégie associative de repeuplement efficace. On en trouve désormais sur de nombreux toits des églises et autres édifices publics d'Alsace et même parfois sur des toits de maisons de particuliers.

Drapeau de l'Alsace

Le drapeau alsacien historique est constitué de deux bandes horizontales: une rouge (en haut) et une blanche (en bas). Il se répand au Modèle:XIXe siècle et trouve son origine dans la forte récurrence des couleurs rouge (gueules) et blanc (argent) dans les blasons des familles nobles et des villes alsaciennes. Lors de la période 1871-1918, le drapeau s'affirme comme le symbole de l'Alsace, en particulier en réaction vis à vis des visées centralisatrices de la Prusse. Le 25 juin 1912, le parlement d'Alsace-Lorraine l'adopte comme emblème national. Aujourd'hui ce drapeau historique de l'Alsace est mis en concurrence avec le drapeau calqué sur le blason alsacien, création récente sans véritable fondement historique. Le drapeau de l'Alsace est appelé en dialecte alsacien "Rot un Wiss" (litteralement: rouge et blanc).

Héraldique

de gueules à la bande d'argent accompagnée de deux cotices fleuronnées du même et accostée de six couronnes d'or posées en orle, celles de la pointe opposées à celles du chef.

Ce blason est la réunion de celui du Bas-Rhin (la bande d'argent accompagnée des deux cotices fleuronnées du même sur champ de gueules) et du Haut-Rhin (les six couronnes d'or posées en orle sur champ de gueules, la bande d'or étant omise)

Transports

Les transports en Alsace sont assez bien développés vu la densité de la population mais des projets d'agrandissement sont encore à l'étude afin de continuer le développement de la région. Il est à noter que le transport ferroviaire principal se fait sur une ligne nord-sud reliant Strasbourg à Saint-Louis et que les transports en bus ou tramway sont en plein développement dans les principales villes de la région (Strasbourg, Colmar, Mulhouse)

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Médias

Notes et références

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Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur l'Alsace.

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