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Montpellier

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Montpellier (en occitan Montpelhièr Modèle:IPA(*)) est une ville du sud de la France, chef-lieu de l’Hérault et de la région Languedoc-Roussillon. Montpellier se situe entre Nîmes et Béziers.

Sommaire

Géographie

Situation

La ville se situe à 10 km de la mer Méditerranée (Palavas-les-Flots) par voie express et à 75 km du point montagneux le plus proche (Mont Aigoual, situé dans le département du Gard). Montpellier est à 54 km de Nîmes (Gard), 168 km de Marseille (Bouches-du-Rhône), 248 km de Toulouse (Haute-Garonne). Elle est également à 750 km de Paris.

Aujourd'hui huitième ville de France par sa population intra-muros et troisième ville française de l'axe méditerranéen (derrière Marseille et Nice), elle est l'une des rares villes de plus de 100 000 habitants dont la population a augmenté de façon ininterrompue depuis une cinquantaine d'années. Elle a plus que doublé sur cette période pour atteindre 244 300 habitants au 1er janvier 2005 selon l'estimation de l'INSEE.

Montpellier est très proche de la mer. Son point culminant est à 57 m à la place du Peyrou (ancienne place royale où trône la statue de Louis XIV). Montpellier étant construite sur une colline (Lo Clapas), certaines rues sont à forte dénivellation.

Montpellier est située entre deux cours d'eau : le Lez à l'est, et la Mosson à l'ouest. Son paysage est surtout marqué par le pic Saint-Loup, situé à 25 kilomètres au nord de la ville et visible depuis la promenade du Peyrou et depuis la terrasse du toit du Corum.

Montpellier s'étends en direction du rivage maritime avec la création de nouveaux quartiers à l'est puis au sud du centre-ville (successivement Antigone, Richter puis Port Marianne), et sous l'impulsion de Georges Frêche, qui a déclaré en 1977 vouloir faire de Montpellier la façade maritime entre Gênes et Barcelone.

Le territoire communal s'étends sur une superficie de 5 688 hectares, urbanisée environ aux 3/5, mais cette urbanisation est en forte croissance. Le reste du territoire communal est composé d'espaces verts, d'espaces naturels protégés (Rives du Lez, Réserve zoologique Lunaret et Bois de Montmaur) et de zones agricoles. Environ 180 hectares de terrains sont encore à dominante agricole, principalement plantés en vignes. Ses principales localisation sont à l'Est (Montaubérou, Valédeau, Flaugergues), au Sud de l'autoroute A9 (Méjanelle, Mogère, Première écluse), Au Nord (Plan des 4 seigneurs), à l'extrème Sud (Petit Grès), et à l'Ouest (Château-Bon, Bionne, Rieucoulon).

Climat

Image:Peyrou.jpg
La promenade du Peyrou

Le climat de Montpellier est typiquement un climat méditerranéen.

Il en découle des précipitations plutôt rares mais violentes, principalement entre septembre et début mars. Au contraire, l'été est souvent très sec, voire aride, avec seulement quelques précipitations en août liées aux orages. Contrairement à une idée répandue, il ne pleut pas moins à Montpellier qu'à Brest, mais les précipitations sont beaucoup plus concentrées.

Le taux d'ensoleillement journalier moyen est de 7h22, très largement supérieur à la moyenne française de 4h46<ref name="ensoleillement">http://www.montpellier.fr/188-la-population-et-la-geographie-de-montpellier.htm</ref>.

La température annuelle moyenne est de 14.2°C, supérieure à la moyenne nationale de 12.2°C<ref name="Température moyenne">http://www.montpellier.fr/188-la-population-et-la-geographie-de-montpellier.htm</ref>.

Températures mensuelles moyennes relevées sur une année (2005) :

Histoire

Les débuts de la ville au Moyen Âge

C'est en 985, dans une donation du comté de Melgueil, qu'apparaît pour la première fois le nom de Montpellier. Le 26 novembre 985, le comte Bernard de Melgueil (Mauguio) octroie au chevalier Guilhem en échange de son dévouement l'ancien territoire situé entre l'antique Voie Domitienne, le Lez et La Mosson. Ses héritiers construiront sur leur nouveau fief un véritable bourg fortifié, doté d'un château et d'une chapelle qui deviendra la ville de Montpellier.

Bien plus jeune que ses voisines de la région comme Nîmes, Narbonne, Béziers ou Carcassonne, pour la plupart créées à l'époque romaine, la Seigneurie de Montpellier n'est créée qu'au XIe siècle. Située entre l'Espagne et l'Italie, proche de la Via Domitia et du port de Lattes, la ville connaît rapidement un important développement économique et culturel, attirant doreurs, orfèvres, drapiers et changeurs. Elle devient ainsi un centre d'échanges entre le nord de l'Europe, l'Espagne et le bassin méditerranéen.

L'agglomération médiévale était constituée par Montpellier sous la seigneurie des Guilhem et par Montpellieret sous la seigneurie des évêques de Maguelone. Une enceinte fortifiée unique (la Commune Clôture) protégeait les deux entités. Deux tours subsistent de cette fortification (la Tour de la Babote et la Tour des Pins).

Le Consulat - instauration d'une administration municipale quasi républicaine par des « consuls » - marque la fin de la dynastie des Guilhem avec la mort de Guilhem VIII le 9 novembre 1202.

Au Moyen Âge, son église Notre-Dame-des-Tables constitue une étape renommée pour les pèlerins partant vers Saint-Jacques-de-Compostelle. Cet afflux de pèlerins provoque la naissance et l'extension d'institutions charitables et hospitalières. Des médecins juifs et arabes chassés d'Espagne se retrouvent à l'École de Médecine de Montpellier, fondée en 1220 par la cardinal Conrad, légat du pape Honorius III. (Discussion : Les juifs et les "arabes" (musulmans serait plus exact), n'ont pas été expulsés d'Espagne à cette époque. Les juifs qui n'ont pas voulu se convertir au christianisme ont été expulsés par les rois catholiques fin XVe. Quant aux musulmans, seule une partie des "morisques" de certaines régions d'Espagne - descendants de musulmans convertis depuis plusieurs générations au christianisme - ont été expulsés vers l'Afrique du Nord au cours du XVIIe siècle. On est donc loin de 1220, époque à laquelle il faut le rappeler, Montpellier était une possession aragonaise (1204-1349). Il semble donc logique que des citoyens aragonais, de quelque religion que ce soit, viennent étudier ou enseigner à Montpellier). La renommée de la plus ancienne faculté de médecine est déjà immense à la fin du Modèle:XIIIe siècle.

Placée sous la tutelle des rois d'Aragon après le mariage de Pierre II d'Aragon (1176-1213), roi d'Aragon et comte de Barcelone, avec Marie de Montpellier, le 15 juin 1204, la ville connaît son apogée. Pierre II accorde aux habitants les franchises et libertés qu'ils réclament. Leur fils Jacques Ier, natif de Montpellier, y entretient une cour brillante.

Jacques Ier ayant résolu de partager ses États entre ses deux fils Pierre et Jacques, la Seigneurie de Montpellier devient possession de Jacques II, Roi de Majorque et Comte de Roussillon, en 1276. La ville restera sous tutelle du royaume de Majorque jusqu'en 1349.

En 1289, les Écoles de Médecine et de Droit de Montpellier, réputées comme centres d'érudition ouverts aux pensées juive et arabe, se voient accorder le statut officiel d'Universités par le pape Nicolas IV. Vendue au royaume de France en 1349, Montpellier est alors considérée comme la deuxième ville du royaume. Mais au cours de la seconde moitié du Modèle:XIVe siècle, des épidémies successives déciment plus du tiers de sa population.

De la Renaissance aux guerres de religion

Image:Peyrou.JPG
Les jardins du Peyrou et le château d'Eau

Au Modèle:XVe siècle, la ville se redresse économiquement grâce à l'activité du port voisin de Lattes et au génie mercantile de Jacques Cœur, grand argentier du roi Charles VII. La Faculté de Médecine de Montpellier bénéficie même, en 1593, de la création d'un Jardin des Plantes, aujourd'hui le plus ancien de France.

Après que le siège épiscopal de Maguelone ait été supprimé en 1536, il s'établit à Montpellier. La cathédrale Saint-Pierre est alors construite sur le site de l'église du monastère Saint-Benoît, fondée en 1364. De l’ancien édifice gothique consacré par Urbain V, pape d’Avignon, ne subsistent que le massif de façade et les deux tours-clochers. Son plan est inspiré du modèle méridional, et des influences avignonnaises sont manifestes, notamment dans la forme et la sobriété des arcs et des supports des colonnes.

Au Modèle:XVIe siècle, la Réforme protestante gagne beaucoup d'adhérents et Montpellier devient un bastion du protestantisme. Un des plus beaux temples de l'époque est construit. Mais au cours des décennies suivantes, les guerres de religion entraînent la destruction totale de tous les édifices catholiques situés à l'intérieur des murailles de la ville. La cathédrale Saint-Pierre est la seule à ne pas être détruite, même si elle en souffre durablement.

En 1572-1576, la ville bénéficie de l’alliance des protestants du Languedoc avec le gouverneur Montmorency-Damville, catholique conciliant. Mais la trahison de ce dernier, qui s’allie au roi en 1576, provoque le soulèvement de la ville qui rejette son autorité. François de Châtillon la défend contre le long siège du gouverneur du Languedoc. Il commence par raser la citadelle. Quand la situation devient difficile, il fait une sortie, parcourt les Cévennes et va jusqu’à Bergerac pour recruter des renforts, et réussit à les ramener dans la ville<ref>Modèle:Guerres de religion-Miquel, p 326</ref>.

En 1598, l'édit de Nantes désigne Montpellier comme une des places fortes où les cultes protestants sont reconnus. S'en suivent une vingtaine d'années de calme, rompues lors d'une dernière guerre de religion. En 1622, Louis XIII dirige le siège de la ville rebelle, qui capitule au terme d'un pilonnage intense de deux mois. Le règne du roi est rétabli et le retour de la domination catholique est assuré par l'édit de Fontainebleau de 1685. Depuis, la ville est restée majoritairement catholique.

Les XVIIe et XVIIIe siècles

Une fois achevée la pacification de Montpellier, la noblesse, fière de son nouveau statut, fait construire de nombreux hôtels particuliers, relativement élégants et dont l'architecture est caractéristique du centre historique. L'un des plus beaux, l'hôtel de Guidais, peut être admiré à l'angle Ouest de la promenade du Peyrou. Propriété de la famille Molinier, il n'a pas été sub-divisé. Il fut la résidence de l'avant-dernier Grand Maître de l'ordre de Malte, Hompech, qui y mourût. Le magnifique jardin et la maison typique du classicisme languedocien peuvent être visités.

La place de la Comédie et l'arc de Triomphe datent du Modèle:XVIIe siècle. C'est aussi le cas de la place Jean Jaurès, construite sur le site d'une église détruite au cours des guerres de religion, et de la promenade royale du Peyrou, construite sur ordre de Louis XIV et en son honneur, à l'extérieur des fortifications. Pour alimenter les jardins, un aqueduc achemine l'eau depuis Saint-Clément-de-Rivière.

Jusqu'à la Révolution française, Montpellier est le siège des États du Languedoc.

Au Modèle:XIXe siècle

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Le Palais de Justice, actuel siège de la Cour d'Appel, de la Cour d'Assise et du Tribunal de Commerce

Le développement de la viticulture au Modèle:XIXe siècle favorise la constitution de fortunes et se traduit par une métamorphose urbaine.

L'édification du Palais de Justice, des églises Sainte-Anne et Saint-Roch, de la gare, et la reconstruction du théâtre en sont les parfaits exemples.

Le phylloxéra d'abord, et la surproduction viticole ensuite, apportent pour quelques décennies un coup d'arrêt à l'expansion de Montpellier.

La Seconde Guerre mondiale

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La préfecture de Montpellier où exerça Jean Moulin, et au balcon de laquelle Philippe Pétain et Francisco Franco se sont serrés la main.

Les bombardements de la ville de Montpellier pendant la Seconde Guerre mondiale :

Le développement de la ville au cours de l'après-guerre

Quelques éléments concernant l'histoire religieuse

Image:Montp anne.JPG
L'église Sainte-Anne, devenue centre d'art contemporain

Le saint patron de Montpellier est saint Roch, fêté le 16 août. L'emblème de la ville est Notre-Dame-des-tables (cf. blasonnement plus bas). Montpellier faisait partie du diocèse de Maguelonne.

  • 1536 : Le siège de l'évêché est transféré de Maguelonne à Montpellier.
  • 1802 : Montpellier devient diocèse suffragant de Toulouse ;
  • 1822 : Montpellier devient diocèse suffragant d’Albi ;
  • 1877 : adjonction des titres des diocèses d’Agde, Lodève et Saint-Pons-de-Thomières ;
  • 2002 : érection de l’Église de Montpellier en archevêché métropolitain.

La cathédrale Saint-Pierre


La cathédrale Saint-Pierre est érigée en archidiocèse métropolitain le 8 décembre 2002 par décret de la Congrégation pour les évêques. La Province ecclésiastique de Montpellier comprend à présent les diocèses suffragants de Mende et de Perpignan-Elne (auparavant suffragants d’Albi), de Nîmes (auparavant suffragant d’Avignon) et de Carcassonne (auparavant suffragant de Toulouse).

Blasons

D'azur à la vierge de carnation vêtue d'une robe de gueules et d'un manteau du champ, assise sur un trône antique d'or, tenant l'Enfant Jésus aussi de carnation vêtu d'azur, le tout surmonté des lettres A et M onciales d'argent et soutenu en pointe d'un écusson du même chargé d'un tourteau de gueules.

L'écusson d'argent au tourteau de gueules constitue les armes des seigneurs de Montpellier (les Guilhem).


Les lettres A et M signifient "Ave Maria".

La vierge représentée est Notre-Dame des Tables, nommée ainsi en raison des tables des changeurs (de monnaies) qui se situaient à proximité de l'église Notre-Dame.

Démographie

Image:Montpellier croissance.JPG
Une croissance continue...

Au cours de la première moitié du XXe siècle, la croissance de Montpellier se fait à un rythme plutôt calme : 0,47% par an en moyenne. Par la suite, elle devient cinq fois plus importante : 2,2% par an de 1954 au recensement de 1999. Un premier record est établi avec une croissance démographique annuelle de 5,3% entre 1962 et 1968 <ref>INSEE, 2002 - http://www.insee.fr/fr/insee_regions/languedoc/rfc/docs/doc_travail_atlas.pdf</ref>, due en grande partie à l'arrivée des Pieds-Noirs d'Afrique du nord.

D'après les estimations de population de l'INSEE, Montpellier compte 244 100 habitants en 2005, ce qui en fait la huitième ville française hors agglomération. Sa croissance est toujours très importante, oscillant entre 1 et 2% depuis 1999, soit la première croissance démographique française pour une ville de plus de 100 000 habitants[réf. nécessaire]. Le dernier recensement estime à 391 162 habitants la population de Montpellier et son agglomération, soit le 19e rang français (531 000 dans l'aire urbaine)

Le recensement de 1999 précise que 20,9% de la population montpelliéraine a entre 0 et 19 ans, 60,7% entre 20 et 59 ans, et 18,4% plus de 60 ans. Avec 43% des montpelliérains âgés de moins de 30 ans, la ville est plus jeune que sa région : le Languedoc-Roussillon compte en effet 25,1% de plus de 60 ans.

Évolution démographique
1806 1820 1876 1901 1911 1921 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005
33264 35123 55258 75950 80230 81548 90787 93102 97501 118864 161910 191354 197231 207996 225392 244300*
0,39%** 0,81%** 1,28%** 0,55%** 0,16%** 0,72%** 0,25%** 0,58%** 2,51%** 5,29%** 2,42%** 0,43%** 0,67%** 0,9%** 1,61%**
Nombre retenu à partir de 1962 : Population sans doubles comptes
* Enquête annuelle (nouveau mode de calcul du recensement) **Croissance annuelle par rapport au précédent recensement

Organisation administrative

Image:Montpellier Mairie.JPG
La mairie de Montpellier

Montpellier est la ville centre de la Communauté d'agglomération de Montpellier, qui compte 31 communes et 391 000 habitants.

Derniers maires de Montpellier :

Image:Decoupagecant.JPG
Le découpage des cantons

Montpellier est divisée en 10 cantons : Modèle:Cantons de Montpellier

Plusieurs juridictions ont leurs sièges en ville dont un conseil de prud'hommes situé place de la Canourgue.

Agglomération de Montpellier

Image:Comedie illuminee.JPG
La place de la Comédie illuminée pour Noël
  • Voir : Montpellier-Agglomération
  • 170 000 actifs soit 45% de la population active du département.
  • près de 65 000 étudiants.
  • plus de 21 000 entreprises dont 18 parcs d'ativités représentant 760 entreprises et 18 473 emplois.

Économie

Montpellier a une économie diversifiée, ce qui correspond à un fonctionnement de ville moderne, et son industrie est très spécialisée dans le tertiaire supérieur : TIC, multimédias, biotechnologies, pharmacie. Bien qu'ayant une position excentrée par rapport à la dorsale européenne qui va de Londres à la Vénétie, ce qui est un inconvénient avec sa taille relativement faible par rapport aux grandes villes européennes, elle tire son épingle du jeu et se situe au quart supérieur des villes européennes (étude sur les villes européennes 2004 DATAR) Montpellier est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de Montpellier. Elle gère l’aéroport de Montpellier et l’Eurogare. Elle gère aussi le groupe Sup de Co, le CFA Commerce et distribution et le CFA de l’Hôtellerie et de la restauration. Avec 1000 salariés, IBM est un des premiers employeurs privés de la ville.

Montpellier est aussi le siège de la Chambre régionale de commerce et d'industrie du Languedoc-Roussillon.

Montpellier est classée, selon une étude de la DIACT, comme la métropole régionale intermédiaire la plus attractive.

Enseignement supérieur

Le Pôle universitaire de Montpellier et du Languedoc-Roussillon regroupe les établissements d'enseignement supérieur de la ville et de la Région Languedoc-Roussillon.

Population étudiante

Montpellier est le 7e pôle universitaire de France après Paris, Lyon, Toulouse, Lille, Marseille et Bordeaux. On estime à près de 60 000 le nombre d'étudiants présents dans les trois universités montpelliéraines et les écoles supérieures (École supérieure de commerce, École nationale supérieure d'architecture, École nationale supérieure d'agronomie = Agro Montpellier, École Nationale Supérieure de Chimie, écoles privées...).

Son point fort est le nombre des étudiants par rapport à la population soit 30% (la seule ville européenne équivalente est Bologne, l'héritage historique joue à plein, ce sont les deux plus vieilles universités d'Europe ref étude DATAR 2004). La ville est ainsi au deuxième rang des aires urbaines nationales, après Poitiers, du point de vue de la concentration estudiantine.

Le taux de poursuite d'études supérieures dans l'académie de Montpellier est supérieur à la moyenne nationale (52,9% contre 47,8%) <ref>INSEE, 2003 - http://www.insee.fr/fr/insee_regions/languedoc/rfc/docs/syn0302.pdf</ref>.

40% des étudiants de Montpellier ne sont pas originaires de la région Languedoc-Roussillon, et 17% sont de nationalité étrangère. Parmi les étudiants étrangers, une majorité viennent d'un pays hors de l'Union européenne et 47% sont Africains.

Classes préparatoires

Le lycée Joffre

Le lycée Joffre accueille environ 800 élèves en classes préparatoires scientifiques, littéraires et commerciales.

Les classes scientifiques (500 élèves taupins) de Joffre existent depuis plus de deux cents ans. Les classes prépas littéraires (khâgnes) comptent 200 élèves et les classes commerciales une centaine.

Le lycée Jean Mermoz

Le lycée Mermoz propose des classes préparatoires techniques.

Le lycée Jules Guesde, anc. du Mas de Tesse

Le lycée Jules Guesde propose des classes préparatoires commerciales.

Le lycée privé confessionnel La Merci

Le lycée La Merci propose depuis 1991 des classes préparatoires scientifiques et commerciales.

Universités

Image:Montpellier Faculte medecine.jpg
La Faculté de Médecine de Montpellier (Université Montpellier 1)

Montpellier est dotée de trois universités :

  • L'université Montpellier 1 qui regroupe les disciplines diverses telles que le droit, la médecine, la pharmacie, l'économie, la gestion, l'odontologie et les STAPS.
  • L'université Montpellier 2 (université des sciences et techniques ou UFR des sciences) qui regroupe les sciences, Polytech'Montpellier, l'IAE (Institut d'administration des entreprises) et l'IUT (Institut universitaire de technologie)
  • L'université Montpellier 3 (université Paul-Valéry) qui regroupe les lettres, les sciences humaines et les arts.

La renommée des universités montpelliéraines est importante, notamment dans le domaine de la recherche médicale et scientifique, et ce depuis le Moyen Âge.

L'UFR de médecine de Montpellier (université Montpellier 1) est la plus ancienne faculté de médecine en activité au monde. Dès 1340, elle crée un cours d'anatomie qui fait rapidement sa renommée et, en 1556, elle est la première à se doter d'un amphithéâtre consacré à l'examen des cadavres. C'est à Montpellier que fut réalisé la première autopsie d'étude sur corps humain, au secret de la religion qui interdisait toute intervention sur des personnes décédés. Cette faculté a compté d'illustres étudiants et de grands praticiens, parmi lesquels Arnaud de Villeneuve, Guy de Chauliac (père de la chirurgie médicale), Nostradamus, François Rabelais (médecin humaniste), François de Lapeyronie (chirurgien du roi), Paul-Joseph Barthez (médecin personnel de Louis XVI et de Bonaparte).

Les bibliothèques des universités font partie de la BIU. L'UFR de médecine abrite une importante bibliothèque de 900 volumes manuscrits, dont 300 incunables, et 100 000 volumes imprimés antérieurs à 1800.

Grandes Écoles

  • ei.cesi - École d'ingénieurs du cesi (établissement secondaire).
  • CNEARC - Institut des régions chaudes.
  • COFAT - Commandement de la formation de l’armée de terre (établissement secondaire).
  • ENGREF - École nationale du génie rural des eaux et des forêts (établissement secondaire).
  • ENSC Montpellier - École Nationale Supérieure de Chimie de Montpellier.
  • ESC Montpellier - École Supérieure de Commerce de Montpellier (Groupe Sup de Co)
  • Montpellier SupAgro - Centre international d’études supérieures en sciences agronomiques.
  • Polytech' Montpellier - École polytechnique universitaire de Montpellier.
  • ENSAM École Nationale Supérieure d'Architecture de Montpellier

Enseignement supérieur privé

  • SUP'EXUP - Ecoles privées supérieures Saint-Exupéry avec trois collèges fameux pour leurs résultats <ref>Supexup publie tous ses résultats aux examens : voir supexup.fr et sites "rectorat de montpellier" et "fédération européenne des écoles".</ref>: Immobiler (école de la FNAIM) Commerce (management, spécialisé ressources humaines)) et Réseaux (NTIC). Partage un campus avec ESMA .(ci-dessous)
  • ISCOM - Institut supérieur de communication (Publicité, Marketing, Relations presses)
  • Studio M - École Supérieure des Arts & Média.
  • ACFA Multimédia - École d'enseignement supérieur privé, métiers de l'audiovisuel et du multimédia.
  • ArtFx - École Supérieure d'enseignement technique privée - École de 3D, graphisme, effets speciaux, cinéma, audiovisuel, trucage, jeux vidéo, jeu vidéo, game, game design, images de synthèse, arts appliqués.
  • Brousse - École d'enseignement technique privé - Formation générale en communication visuelle : arts graphiques, arts plastiques, PAO, infographie/3D, photographie numérique, multimédia, vidéonumérique.
  • IDRAC - Institut De Recherche en Action Commerciale- École Supérieure de Commerce et de Communication (SUP de COM).
  • ESICAD - École Supérieure Privée de Commerce et de Gestion Montpellier.
  • Académie Mercure des affaires internationales.
  • École Internationale de Montpellier (groupe Sup' de Co)
  • École de la haute finance - BTS Comptabilité Gestion des Organisations, DPECF, DECF, DESCF.
  • EPSI Montpellier - École privée des sciences informatiques.
  • ESCAIA - École supérieure de la coopération agricole et des industries alimentaires.
  • ESMA - École Supérieure des Métiers de l'Aréronautique
  • ETEC Formatep - École technique privée de coiffure et d'esthétique.
  • SUPINFO - École Supérieure d'Informatique de Paris - Branche régionale du Languedoc-Roussillon.

Transports

En voiture

Image:Montpellier embouteillages 30-12-2006.JPG
Les embouteillages à Montpellier

Depuis l'été 2004, la quasi totalité du centre historique est piétonnier et n'est accessible aux riverains motorisés et aux livreurs qu'à des horaires fixes.

Circuler dans Montpellier peut être très éprouvant et les embouteillages ne sont pas rares. Enfin, il n'existe que peu de places de parking gratuites et il est interdit de stationner plus de vingt-quatre heures au même endroit.

Il est donc fortement recommandé aux touristes de laisser leur véhicule en dehors de la ville (il existe plusieurs parkings destinés à cela) ou, mieux, de venir en train. Les transports en commun au sein de la ville sont idéaux pour se déplacer l'esprit tranquille. On peut cependant déplorer un nombre de pistes cyclables insuffisant (en progression malgré tout), ce malgré les possibilités de location de bicyclettes.

Transports urbains

Image:Stadtbahn Montpellier.jpg
Tramway de Montpellier

La TaM (Transports de l'agglomération de Montpellier) gère les transports en commun à l'intérieur de la ville de Montpellier, ainsi que plusieurs parcs de stationnement souterrains. La ligne 1 du tramway fit notamment parler d'elle à sa création par son passage sur la place piétonne de la Comédie.

Les quartiers de Montpellier sont ainsi desservis par :

  • la ligne 1 de tramway reliant le quartier populaire de La Paillade au nord-ouest à la zone de loisirs d'Odysseum à l'est, en passant par les hôpitaux et facultés au nord et le centre de la ville. Elle doit être prochainement prolongée vers la nouvelle zone commerciale et ludique Odysseum, puis au-delà vers le Zénith et le cimetière Saint-Étienne ; Son habillage est bleu avec des silhouettes blanches d'hirondelles à la Folon.
  • la ligne 2 reliant les communes péri-urbaines de Jacou, Castelnau-le-Lez et Saint-Jean-de-Védas, en traversant la ville centre selon un axe nord-est - sud-ouest. Son inauguration a eu lieu le 16 décembre 2006, sa décoration est "à grosses fleurs".
  • quinze lignes de bus urbaines (la ligne 15 circulant la nuit jusqu'à 1H00), et presque autant de lignes suburbaines à destination des communes de l'agglomération ;
  • la dernière ligne créée fut Amigo, qui assure de nuit la desserte des boîtes de nuit de l'agglomération avec les quartiers centraux et universitaires de la ville, le succès de cette dernière lui a valu d'être doublée ;
  • une troisième ligne de tramway est prévue et une quatrième évoquée :
    • la ligne 3, dont l'enquête publique est en cours, irait de Juvignac à l'ouest jusqu'à Lattes et Pérols au sud-sud-ouest et devrait entrer en service en 2012 ; son habit "fonds marin" multicolore est conçu par Christian Lacroix.
    • la ligne 4, évoquée en public par le maire de Montpellier et le président de l'agglomération, devrait relier le centre à la commune de Lavérune selon un tracé vers l'ouest et sera construite en même temps que la ligne 3;

Chemin de fer

La gare voyageur de Montpellier est la gare Saint-Roch, baptisée ainsi en mars 2005. Elle permet d'effectuer le trajet de Montpellier à Paris-Gare de Lyon par TGV en 3h15 depuis la dernière extension de la LGV Méditerranée en 2001.

Pour l'instant le tronçon Barcelone-Nimes (passant par Montpellier) de ligne de grande vitesse reste à l'état de projet à cause de décisions ministérielles successives. Il est en concurrence avec le tronçon Nimes-Narbonne-Toulouse-Bordeaux mais surtout avec le tronçon Bordeaux-San Sebastian.

De la gare de marchandises est issue la zone industrielle des Prés d'Arènes au sud de la ville.

Auparavant, de la fin du Modèle:XIXe siècle au début de la seconde moitié du Modèle:XXe, Montpellier a été le terminus de plusieurs des lignes de la Compagnie de chemin de fer d'intérêt local du département de l'Hérault, gérée par le conseil général de l'Hérault, dont le célèbre « Petit Train de Palavas ».

Urbanisme

Centre-ville historique

Image:Gate Montpellier.jpg
L'arc de Triomphe

Le centre historique de Montpellier est appelé l'Écusson. Ce nom est dû à sa forme en écu, bouclier médiéval. Il est limité par une série de boulevards qui suivent les anciennes murailles de la ville. De ces puissantes fortifications jamais prises, démantelées sur ordre de Richelieu, il ne reste que 3 éléments notables:

  • "La tour de la Babote" fut longtemps un observatoire astronomique. Elle permet d'accéder à la vieille-ville, près des quartiers anciennement bourgeois.
  • La "tour des Pins", ancienne prison pour femmes. Elle est aussi l'objet d'une des centuries de Nostradamus. L'astrologue annonça que Montpellier périrait par les flammes le jour où les pins coiffant cette tour disparaîtraient. Cette prédiction a été prise en considération lors de la dernière restauration de l'édifice, qui impliquait l'arrachage des dits pins. Ainsi, la ville n'a pas manqué d'y installer quelques thuyas en pots.
  • La "porte des salinières", aux débouchés de la rue de l'Université. Elle servait de porte à un quartier comptant de nombreuses congrégations religieuses. Elle était aussi l'accès privilégié par les négociants de sel, d'où son nom.

Au Modèle:XVIIe siècle, sur cette même ligne de l'ancienne fortification, est bâti l'Arc de triomphe ouvrant la vieille-ville sur les Jardins du Peyrou.

Au XIXe siècle, s'inspirant des travaux du baron Haussmann à Paris, des travaux sont effectués sous l'impulsion du maire, Jules Pagézy, pour créer de larges avenues au sein de l'Écusson. Si les travaux sont inachevés, on leur doit malgré tout la rue Foch, la rue de la Loge, la rue de la République et la rue Maguelone, principaux axes du centre-ville historique. La ville s'étend alors vers ses faubourgs (Saunerie, Figuerolles, Boutonnet, Saint-Jaumes) et autour de la gare (Méditerranée, boulevard de Strasbourg).

Il est à noter que l'extrême centre de l'écusson a été bâti en "circulade" (Rues Rebuffy, du bayle, du petit scel, Philippy...)

Quartiers de la ville

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Le quartier de la ZUP La Paillade qui regroupe près de 10% de la population de Montpellier

Depuis 2001, la commune de Montpellier est divisée en 7 quartiers "officiels", eux-mêmes divisés en sous-quartiers. Chacun est doté d'un conseil de quartier et d'un adjoint au maire délégué.

  • Le quartier Montpellier-centre regroupe : le centre historique (Écusson), Comédie, Gares, Faubourg Boutonnet, Saint-Charles, Faubourg Saint-Jaume, Peyrou, Les Arceaux, Faubourg du Courreau, Gambetta, Clémenceau, Méditerranée, boulevard de Strasbourg, Le Triangle, Polygone, Antigone, Nouveau-Monde, Parc à Ballons, Les Aubes, Les Beaux-Arts, Saint-Lazare.
  • Le quartier Croix-d'Argent regroupe : avenue de Toulouse, Croix d'Argent, Mas Drevon, Tastavin, Lemasson, Garosud, Mas de Bagnères, Mas Nouguier, les Sabines, Lepic, Pas du Loup, Estanove, Val-de-Crozes, Bagatelle.
  • Le quartier Les Cévennes regroupe : Les Cévennes, Alco, Le Petit Bard, Pergola, Saint-Clément, Clémentville, Las Rebès, La Chamberte, La Martelle, Montpellier-Village, Les Grisettes, Les Grèzes.
  • Le quartier Hôpitaux-Facultés regroupe : Malbosc, Saint-Priest, Euromédecine, Zolad, Plan des 4 Seigneurs, Hôpitaux, IUT, Père Soulas, Universités, Vert-Bois, Hauts de Boutonnet, Aiguelongue, Justice, Parc zoologique de Lunaret, Agropolis.
  • Le quartier Port-Marianne regroupe : La Pompignane, Richter, Millénaire, Jacques Cœur, Consuls de Mer, Grammont, Odysseum, Montaubérou, La Méjanelle, La Mogère.
  • Le quartier Prés d'Arènes regroupe : Les Prés d'Arènes, Avenue de Palavas, La Rauze, Tournezy, Saint-Martin, Les Aiguerelles, Pont-Trinquat, Cité Mion.

Quelques photographies du centre historique


Culture

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Réunion de famille de Frédéric Bazille, peint au mas de Méric au nord-est du centre de Montpellier.

Musées

  • Musée Fabre, où est présenté une collection publique de près de 800 peintures depuis sa réouverture le 4 février 2007.
  • Musée Atger, plus de 1000 dessins des écoles françaises, italiennes et flamandes
  • Musée languedocien
  • Musée d'Anatomie
  • Musée de la pharmacie
  • Musée de l'Histoire de Montpellier (Crypte Notre-Dame des Tables)
  • Musée de l'infanterie (École d'Application de l'Infanterie)
  • Planétarium Galilée (Odysseum)

Festivals et manifestations culturelles

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Vue sur le Carré Sainte-Anne
  • le Festival Occitan Total Festum, le 21 octobre, place de la Comedie;
  • le festival Diffuz, autour de la culture libre (logiciels, musique), octobre;
  • la Comédie du livre, en fin mai début juin, sur la place de la Comédie ;
  • le Festival de Radio France et de Montpellier ;
  • le Festival Montpellier Danse ;
  • le Festival du cinéma méditerranéen ;
  • le Printemps des Comédiens ;
  • les Internationales de la Guitare, au mois d'octobre ;
  • le Festival à 100%, Espace Grammont, au mois d'octobre ;
  • le Festival des Fanfares, Quartiers Beaux-Arts/Pierre Rouge et Boutonnet, mi-juin ;
  • le Festival Quartiers libres (fête populaire entre les citoyens et les artistes), fin Septembre début octobre ;
  • le Festival international des sports extrêmes (Fise) au bord du Lez devant l'hôtel de région, 5 jours en mai 2007, passera à 10 jours en 2008 ;
  • le Festival chrétien du cinéma ;
  • Le Festival pour enfants Saperlipopette, Voilà Enfantillages
  • le Festival Attitude ;
  • l'Association Patrimôme met en valeur le patrimoine auprès des enfants ;
  • le Battle of the Year, fin avril (festival de danse hip hop);
  • le festival Electromind (musiques éléctroniques) fin juillet espace Grammont ;
  • le Festival international de tango argentin ;

Installations culturelles

  • le palais des Congrès et l'opéra Berlioz au sein du Corum ;
  • l'opéra Comédie ;
  • le théâtre de Grammont (Théâtre des 13 Vents) ;

Cinémas

  • Gaumont Comédie (7 salles)
  • Gaumont multiplexe (17 salles)
  • Le Royal (5 salles)
  • Diagonal Capitole, Celleneuve, Centre et Campus (6 + 1 + 1 + 2 salles)
  • Mega CGR (sur la commune de Lattes)

Académie des sciences et lettres de Montpellier

Créée en 1706, sous le nom de Société royale des sciences, elle a reprit vie en 1846 sous son nom actuel. Elle est composée de 90 membres titulaires.

Montpellier dans les arts

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Le Couvent des Ursulines, siège du centre chorégraphique national de Montpellier

Jouissant d’une douceur de vivre propice à la création, Montpellier attire de plus en plus d’artistes, confirmés ou en devenir. La ville jouit déjà d’une aura importante dans le milieu de la danse contemporaine, on le doit à Mathilde Monnier, directrice du centre chorégraphique national de Montpellier depuis des années et précédée par le défunt Dominique Bagouet. D’autres domaines artistiques sont en pleine ébullition, la scène électro-pop avec Emilie Simon et des formations comme Rinôçérôse, qui s’exportent dans le monde entier et entraînent une multitude de groupes dans leur sillage. La bande dessinée y est très présente grâce à des auteurs comme Lewis Trondheim et Matt Konture qui font partie de la "nouvelle BD française". L’art contemporain s’y développe également, avec un grand nombre de plasticiens de qualité, stimulés par l’explosion du nombre de galeries d’art et la future création d’un centre d’art contemporain de dimension nationale. Sans parler de la scène littéraire locale dont Christine Angot, par exemple, est issue.

Montpellier, c’est aussi « La ville des festivals ». La ville propose des événements culturels de qualité dans tous les domaines artistiques ; Musique, Cinéma, Danse, Théâtre, Arts plastiques, Littérature, etc..

Médias

  • Midi Libre
  • Montpellier Plus, journal gratuit du groupe Midi Libre
  • La Gazette de Montpellier
  • 7L TV, chaîne locale du groupe NRJ

Autres

  • en 1998, Montpellier a reçu le Congrès Universel d'Espéranto, qui a réuni plus de 3000 participants venant de plus de soixante pays différents (site du congrès) ;
  • les Barons de Caravettes sont une confrérie montpelliéraine qui poursuit la tradition d'introniser « baron de Caravettes » les habitants de Montpellier ayant un passé familial dans la ville.

Image de Montpellier

Montpelliérains célèbres

Personnes nées à Montpellier, selon la date de naissance

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François Gigot de Lapeyronie
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Jean-Jacques Régis de Cambacérès

Personalités vivant ou ayant vécu à Montpellier

Sport

Principales installations sportives

Principaux clubs de sport

Montpellier Herault Sporting club (football) Grand Centre de Formation Français

Jumelages

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Vue sur le château et le centre historique de Heidelberg

La ville de Montpellier est jumelée avec :

Notes

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Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

Histoire de la ville

  • Félix Platter et Thomas Platter, récits de voyages entre 1499 et 1628, édités par Emmanuel Le Roy Ladurie, Le Siècle des Platter, 2 tomes, éd. fayard, 1995 et 2000.
  • Charles d'Aigrefeuille, Histoire de la ville de Montpellier, 1739.
  • Gérard Cholvy (dir.), Histoire de Montpellier, éd. Privat, 1984.
  • Dominique Balaÿ et Virginie Delaban, Il était une fois...Montpellier, Livre Jeunesse, éd. Falaises, 2006.

Géographie

  • Robert Ferras et Jean-Paul Volle, Montpellier Méditerranée, éd. Économica, Paris, 2002.
  • DUMONT Gérard-François, CHALARD Laurent, Population & Avenir, (2007), Les métropoles régionales intermédiaires en France : quelle attractivité ? Collection Travaux, n° 5, La Documentation Française/DIACT, Paris, 88 pages.

Actualités

  • Presse locale et régionale : "La Gazette Économique et Culturelle" (magazine hebdomadaire), La Gazette de Montpellier (hebdomadaire), La Marseillaise - L'Hérault du jour (quotidien), Midi libre (quotidien),
  • Bulletin d'information institutionnel :
    • municipal : Montpellier Notre Ville, Tip Top (pour les jeunes de 13 à 25 ans), Vivement (pour les seniors),
    • de la communauté d'agglomération : Harmonie.

Liens externes

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Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur la ville de Montpellier.


Documents de l'INSEE

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